Définition bâtiment tertiaire et immeuble écologique

La définition d’un bâtiment tertiaire ? C’est quoi ? Qu’est-ce ce que c’est l’immeuble tertiaire écologique ?

Un bâtiment tertiaire représente l’ensemble des bâtiments occupés par les entreprises du secteur tertiaire, c’est-à-dire les bâtiments occupés par les sociétés, les associations et les administrations exerçant dans les métiers du service comme dans l’enseignement, le commerce, la santé, les bureaux d’étude, la restauration, l’hôtellerie, etc.

Exemples :

-Immeubles de bureaux,

-Les stades et équipements sportifs,

-Hôtels, cafés,

-Commerces,

-Hôpitaux, cliniques,

-Administrations publiques et structures recevant du public, etc.

Plus : Il existe plusieurs types en bâtiment tertiaire sur le plan architectural, conceptuel et utilitaire.

Les constructions immobilières d’immeubles tertiaires suivent des règles de plus en plus strictes en tenant compte de la sécurité, de l’isolation thermique, de la climatisation, de l’isolation phonique et de l’environnement plus largement dans le but d’améliorer les conditions d’existence et de travail des occupants et locataires.

Le surcoût engendré par le respect de la réglementation et des normes environnementales est répercuté sur une valeur plus élevée des bâtiments en termes de location ou de prix de vente : le bien-être des occupants peut améliorer le taux de productivité des employés et des cadres et donc se ressentir dans une hausse des performances comptables et stratégiques de l’entité commerciale, publique ou associative.

Le label HQEHaute qualité environnementale – et la certification NF – Norme française – représentent des indices environnementaux de performance, les plus connus du marché, pour les bâtiments tertiaires.

Complément : En France, on dénombre pas moins de 900 millions de m² en surfaces immobilières du secteur tertiaire.

Près de 1600 immeubles tertiaires – 18 millions de m² – sont certifiés en « bâtiment durable » NF/HQE sur l’Hexagone et près de 300.000 rénovations énergétiques sont répertoriées chaque année en France.

La région Île-de-France est en tête de classe en termes de rénovations énergétiques et domine le classement en bâtiments tertiaires écologiques et bâtiments tertiaires classiques ( = bâtiment passif) .

Le chiffrage moyen, en gain économique après les travaux environnementaux, s’élève à 12 euros par an et par m² – réduction de la facture en énergie principalement via une efficacité énergétique -.

Le surcoût moyen pour construire un bâtiment durable et écologique se monte à 10 % environ par rapport à la construction d’un bâtiment classique – immeuble classique hors du concept de développement durable -.