Immobilier à Cholet

Cholet est une ville de 54.000 habitants située en Pays de la Loire.

Le marché immobilier choletais est composé de près de 27.100 logements dont 93,5 pour cent en résidences principales, 5,7 pour cent en logements vides et 0,8 pourcent en résidences secondaires.

Après avoir connu une crise dans les années 2009 – successivement à la grande crise économique mondiale -, le secteur immobilier à Cholet a remonté la pente jusqu’à créer une forme de tension (demande plus élevée que l’offre) selon un reportage de Ouest-France.

Sur la période 2000-2018, le prix moyen au m² est passé de 600 euros à 1268 euros pour les appartements et de 700 à 1472 euros pour les maisons en moyenne selon meilleursagents.com (plus de 100 pour cent de hausse en près de 20 ans).

Bien entendu, des oscillations tarifaires ont accompagné ce mouvement haussier global (mimant l’évolution de la conjoncture économique et financière).

La valeur d’un bien immobilier dépend d’un nombre de facteurs importants :

  1. le taux d’intérêt moyen des banques ;
  2. la qualité de l’emplacement (voisinage, adresse, proximité des commerces et gares, etc.) ;
  3. l’état des lieux (équipements, confort, etc.) ;
  4. le climat local et national des affaires (emplois, disponibilité des terrains, etc.) ;
  5. la surface habitable ;
  6. les services et charges associées (frais du syndic de copropriété, taxes d’habitation et foncières, etc.) ;
  7. etc.


Un extrait d’un article datant de 2009 sur le marché immobilier à Cholet en difficulté à l’époque :

Les appartements sur Cholet (F2, F3) sont en surnombre à cause de promoteurs et contribuables cherchant à défiscaliser !

La construction immobilière en logements d’habitation de petites surfaces a été excessive sur la ville de Cholet.

Les contribuables propriétaires ont acheté de tels logements afin de bénéficier des allègements fiscaux :
-Défiscalisation et réduction fiscale en loi de Robien/dispositif Scellier.

Le marché immobilier choletais connaît un surnombre d’appartements T2 ou T3 avec pour conséquence un nombre croissant de logements vides.


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