Investir en Bourse en période de crise économique

Est-il judicieux d’investir en Bourse des capitaux en période de crise économique ?

Les placements sur des titres boursiers sont toujours risqués.

Par définition des actions d’entreprise cotées, les cotations des titres baissent ou augmentent durant les périodes d’ouverture des systèmes informatiques d’échanges d’actions de l’Euronext, du Dow Jones ou du Nasdaq.

Il est impossible de prévoir la hausse ou la baisse d’une cotation

Investir en Bourse exige des prérequis en finance et en expérience des aléas boursiers. Parfois un phénomène exogène à une entreprise implique le décroissement de sa cotation. Et donc une perte potentielle pour l’actionnaire.

Mon opinion : c’est une composition d’analyse financière, d’intuition et de chance qui permet à un investisseur une augmentation de ses valeurs mobilières.

Par exemple, les comptables d’une entreprise déclarent des résultats déficitaires alors qu’il était prévu des bénéfices. Il sera alors très probable que la valeur de l’entreprise baisserait. Et donc que la cotation décroirait. Il n’y a, toutefois, aucune certitude car, parfois, la cotation a augmenté dans ce cas.

En période de crise économique, faut-il investir en Bourse ?

Il est nécessaire d’analyser sa situation financière.

Si un investisseur a des capitaux inutilisés, et que leurs investissements ne nuisent pas à la capacité financière alors il est, probable, de réfléchir à une allocation.

Pour un épargnant ayant peu d’expérience ou de connaissance, il est recommandé de se renseigner auprès des gestionnaires de patrimoine expérimentés, des banquiers, des assureurs, des notaires.

Dans le cas d’un épargnant avisé par les aléas financiers et comprenant parfaitement le fonctionnement des marchés boursiers, alors il pourrait envisager d’investir.

Dans une période de crise économique, il est probable que certaines entreprises réputées au bilan financier correct ont alors une cotation dévaluée. Il est alors intelligent de réfléchir à en devenir un actionnaire.