Définition d’intermédiation en assurance
Activité jouant un rôle de conseil et de négociation entre un assuré et les compagnies d’assurance. Un commissionnement est généralement prévu à la souscription de l’assuré au contrat présenté par l’intermédiaire.
Ce professionnel mandaté par un assuré identifie les risques liés à la demande de ce mandant, et le protège au mieux par des mesures préventives et des clauses assurantielles.
Le métier de courtier en assurance est une profession mal connue du grand public. L’intermédiaire en assurance, par exemple, doit respecter un certain nombre de lois et règles spécifiques aux produits financiers afin de garantir les clients souscripteurs/consommateurs.
Cet intermédiaire doit, à la fois, être un fin connaisseur des lois en place, et jongler avec les subtilités des garanties parfois très spécialisées.
J’invite le lecteur à comparer ces différentes branches d’intermédiation en assurance :
Il s’agit de métiers différents qu’il est nécessaire de distinguer.
L’objectif du professionnel sera de proposer :
- son expertise en identifiant l’ensemble des risques liés à la personne physique ou morale, à l’activité ou l’objet à assurer ;
- des mesures de précaution ;
- des clauses juridiques protégeant au mieux les éléments à risque décris au contrat d’assurance ;
- une cotisation d’assurance négociée, au mieux, par rapport aux garanties validées.
Les intermédiaires en assurance préfèrent, généralement, se spécialiser au regard de l’étendue des garanties et des métiers : courtier en assurance professionnelle d’une branche précise (bâtiment, agricole, etc.), courtage en contrat IARD, etc.
En cas de litige, l’ACPR joue un rôle essentiel dans la compréhension du problème, dans la résolution ou dans la conciliation.