De nombreux analystes de la finance et de l’économie essayent de prédire la date de relèvement du taux d’intérêt directeur de la Banque centrale européenne.
Pourtant, c’est impossible.
Il était prévu pour mars 2020. Puis, il a été annoncé, informellement, pour la fin de l’année.
Puis, le Président de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, insinue un relèvement précoce de ce taux directeur.
L’insinuation est en corrélation avec sa déclaration sur le taux d’inflation élevé. Pour la freiner, le relèvement du taux directeur est l’élément technique adéquat.
Un taux d’inflation est synonyme de non maîtrise des prix et des valeurs.
Les principes fondamentaux de l’économie seraient inapplicables avec une inflation élevée.
En mimant les actions des responsables de la FED, ceux de la BCE hausseront, bientôt ce taux directeur.
Les conséquences :
- Une épargne mieux rémunérée ;
- des taux d’intérêt de crédit plus élevés ;
- une baisse de la consommation ;
- une stabilisation des prix ;
- un activité économique moins dynamique.
Les industriels de l’automobile et les acteurs de l’immobilier seront alors financièrement impactés par cette annonce.
Pour les banques et les assurances, une augmentation de la collecte des fonds en contrat d’ assurance vie et des plans d’épargne seront à prévoir. L’activité en gestion de patrimoine sera alors plus attractive.
Toutefois, il y aura, probablement une baisse de la cotation du CAC 40 et des principales valeurs boursières.
En effet, il est prévu une baisse, ou un arrêt, des investissements et interventions de la Banque centrale européenne. Des flux monétaires importants seront retirés ; impliquant une baisse de la cotation de la plupart des indices bourses sur le territoire européen.
Donc, les conséquences économiques seront importantes et variées dès que le taux directeur de la BCE sera à la hausse.
Les plus prévenants ont déjà anticipé cette action pour atténuer les risques économiques.