Définition de plan de financement

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Définition : un plan de financement est un document comptable contenant des descriptifs d’un projet illustrés par des tableaux prévisionnels.

Pour les particuliers, il permet de démontrer la viabilité de sa solvabilité pour obtenir un financement ou le rééchelonnement d’une dette.

Pour les professionnels, le plan de financement sert à convaincre des décisionnaires pour soutenir financièrement un projet de création ou de développement d’une activité.

Le document comptable devra présenter l’activité, les contraintes concurrentielles et techniques, les objectifs de croissance, etc.

Lire : planification financière, plan d’affaires, plan d’action commercial, plan marketing, etc.

Qui sont les décisionnaires ?

Il peut s’agir de banquiers, du management d’une entreprise, de créanciers privés, d’une autorité publique, etc.

Qu’attendent les décisionnaires du plan de financement ?

Comme tout financier, ils souhaitent être convaincus de l’utilité et de l’équilibre financier du projet présenté.

Sans projet utile ou passionnant, il sera difficile d’avoir l’attention d’un public. En plus de ce point crucial, il faudra démontrer l’équilibre des comptes à court, moyen ou long terme.

Les entrées financières ou les créations de valeurs devront, au moins, compenser les investissements émis.

Tout financement d’un projet crée une dette. Tout propriétaire du titre de créance veut être assuré du remboursement.

Le plan de financement devra donc démontrer :

– que l’échéancier sera respecté grâce à des entrées financières pérennes ;

– que les responsables ont les compétences pour l’exploitation ou le management de projet ;

– que les objectifs commerciaux seront atteints ;

– qu’en cas d’impayé, une assurance-crédit ou un garant prendra le relais ;

– qu’en cas d’impayé, des biens ou des valeurs mobilières en garantie permettront le remboursement des fonds empruntés.

Qui contacter pour créer un plan de financement ?

L’expert-comptable est le professionnel le plus qualifié pour élaborer et illustrer un plan de financement.

En amont, les tenants du projet devront réaliser des études de marché pour démontrer la viabilité.

L’expert comptable illustrera les documents transmis par des tableaux et des annotations en fonction de la part de marché ciblée et le taux de croissance annuel ambitionné.

Capital action émis (définition)

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Capital action émis en finance ? Définition et explications.

Le capital action émis représente la valeur du capital action d’une entreprise, au pair dont une souscription a été faite par les actionnaires.

On parle aussi de capital souscrit appelé ou de capital libéré selon une note du média l’expert-comptable.com ; pour appuyer le fait que la somme d’argent ou les biens apportés par les actionnaires ou associés ont été bien versés à ladite entreprise.

Le capital action émis est une traduction d’une expression anglaise.

Cette locution sert à discerner la situation dans laquelle des actionnaires ou associés ont promis un versement (non encore effectif : capital souscrit non appelé).

Comment modifier l’affectation d’un immeuble en hôtel et sa rentabilité ?

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Changer l’affectation d’un immeuble résidentiel en commercial exige l’autorisation du service de l’urbanisme de la commune.

Dans le cas d’une finalité hôtelière, l’activité consiste à accueillir du public, à le restaurer et à l’héberger.

Cela implique l’obtention d’une autorisation préfectorale pour vérifier si les normes de sécurité et les normes dédiées aux activités seront en adéquation et insérées dans le cahier des charges. Il est conseillé de faire appel à une entreprise du bâtiment et un architecte qui ont déjà réalisé ce type de projet.

Il est recommandé de contacter le ministère du Tourisme, la chambre régionale du tourisme, le CPIH, l’UMIH, le FAGIHT, le SYNHORCAT et des professionnels de l’hôtellerie en activité.

Ces contacts permettent de prendre connaissance des normes, des statistiques actualisées positives et négatives, des conseils pertinents, des nouveautés fiscales et économiques et d’écouter des professionnels du secteur.

Dans ce type de projet, les travaux s’avèrent souvent très coûteux. Si un investisseur compte acheter un immeuble pour le rénover, le mettre aux normes, le meubler et constituer une structure humaine pour commencer à zéro, cela demande de prendre des risques élevés.

Cet investisseur devra prendre des précautions minimales. Il est nécessaire que l’emplacement soit de premier ordre et implanté dans une ville accueillant déjà des masses importantes de touristes et/ou de la clientèle d’affaires.

Si le coût d’achat de l’immeuble intégrait déjà le potentiel, et qu’une prévision prudente donne plus de 20 ans pour rentabiliser l’ensemble de l’investissement, il est totalement déconseillé de se lancer.

D’autre part, les organisations hôtelières ont mis sous statistiques la probabilité de rentabilité et viabilité à terme d’un hôtel en fonction des capacités d’accueil et de l’emplacement géographique. Il est nécessaire qu’un hôtel comporte plus de 80 chambres dans un quartier fortement recherché (tourisme et/ou affaires). Bien entendu, cette viabilité est sous conditions de charges mensuelles raisonnables et de compétences élevées des salariés.

Il est préférable de reprendre un hôtel rentable et structuré quitte à payer un surplus que de se lancer à partir d’un tas de pierres non adapté initialement à l’activité.

Pour le repreneur, l’expérience passée a démontré qu’il faut acheter les murs pour réduire les risques juridiques, développer avec efficience la valeur globale et être « seul » maître des lieux (modification architecturale, rénovation, agrandissement…).

D’autre part, il est conseillé d’embaucher du personnel expérimenté et hyper performant même si cela demande des ressources plus élevées. L’investissement fixe doit être efficient et la structure tient sur l’efficacité commerciale et de gestion. C’est la seule condition pour qu’une charge se transforme réellement en une création de valeurs.

Il est déconseillé de lancer un concept. Il est plus prudent d’intégrer un réseau de franchisés aussi bien pour assurer un flux et être toujours aux normes de la gamme choisie. Bien entendu, il faut choisir une gamme qui correspond à son emplacement et ses capacités financières. Il faut étudier les contrats et savoir négocier des clauses.

Plus l’emplacement (et le projet) sera « royal », plus la flexibilité de la franchise sera souple dans les négociations et dans la relation.

Comment se financer ?

Le financement passe par un crédit bancaire. Les banques financent si et seulement si les emprunteurs sont des professionnels expérimentés du secteur hôtelier et apportent au moins 40 % du besoin en capital pour réaliser le projet dont une trésorerie minimale pour la mise en service pour au moins une année.

Bien entendu, les banques étudieront la viabilité du plan d’affaires. L’emplacement, la franchise éventuellement choisie, les chiffres de la concurrence locale, la validation des caractéristiques minimales à avoir pour la réussite d’un projet dans l’hôtellerie sont autant de points qui doivent être tous dans le vert pour qu’un établissement bancaire accepte d’accompagner des entrepreneurs.

Conseils : Il est conseillé de préparer un projet durant 2 ans lorsque le capital est au point sur la gamme hôtelière choisie. La maturité du projet est aussi un critère qui permettra d’éviter des pièges et augmente la probabilité de viabilité de l’entreprise.

L’acquisition de la connaissance est plus importante que le capital. Sans cette connaissance pointue, le capital fondera, pourra se transformer en dette et peut amener à des conséquences sociales dramatiques pour les tenanciers.

Comment combler un besoin de financement ?

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Je voudrais savoir quels sont les moyens dont disposent les entreprises pour combler un besoin de financement ?

Réponse :

Le crédit professionnel, l’appel aux marchés financiers, une levée de fonds auprès d’investisseurs, un crowdlending ou la vente d’actifs sont des techniques possibles permettant de combler un besoin de financement d’une entreprise.

Plus : Les marchés financiers représentent une place où s’échangent des titres d’entreprise dans le but de financer l »économie et de fluidifier la circulation de l’épargne.

Le marché financier permet également d’obtenir une valorisation des valeurs mobilières.

Les marchés financiers se subdivisent en deux :

-le marché de l’émission de titres (marché primaire) ;

-le marché de transaction de titres (marché secondaire).

Une levée de fonds correspond à un financement d’une entreprise par des investisseurs privés dans le but de financer la création ou le développement d’une activité commerciale.

La levée de fonds passe par une augmentation de capital.

La levée de fonds et l’appel aux marchés financiers sont des alternatives au financement bancaire classique.

Par ailleurs, les plateformes de crowdfunding ou crowdlending peuvent accompagner les porteurs de projet dans le cadre de leurs recherches de financement.

Bien entendu, une entité peut aussi bien céder des actifs pour financer son développement ou faire face à un besoin de liquidités.

Pour les créations ou les projets d’ampleur modeste, il existe la technique du love money (financement par la famille ou des amis).

Toutefois, la capacité de l’entreprise à se développer et à durer dépend également de la solidité de son plan d’affaires ou business plan et des savoirs de l’entrepreneur – savoir-faire ; savoir-être ; connaissances et expériences.

Commerce non sédentaire et ambulant : vendre sur les marchés est un métier de commerçant rentable

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Les marchés de France représentent un vaste ensemble commercial ?

Des milliards d’euros s’échangent chaque année sur les marchés des villes de France ; près de 6.000 marchés sont recensés et réalisant plus de 4,6 milliards d’euros par an de chiffre d’affaires selon des données du Crédit Agricole.

Les commerçants non sédentaires (fruits/légumes, vêtements, boucherie, poissonnier, fleurs…) ont des revenus moyens supérieurs à la moyenne des ménages.

Le commerce sur les étales est un business réglementé par l’État.

En effet, pour devenir commerçant non sédentaire, il est nécessaire d’être inscrit au registre du commerce ambulant ou inscrit au répertoire des métiers.

Une carte professionnelle des commerçants ambulants ou non sédentaires est délivrée par la préfecture.

Les marchés sont gérés par les municipalités – directement ou indirectement par l’intermédiaire d’un concessionnaire.

Le créateur du business ambulant doit retenir quelques points importants :

-L’étude d’une zone de chalandise est importante (taille de la ville, emplacement du marché dans la ville…) ;

-Bien choisir son emplacement de vente sur les marchés (abonné mensuel, hebdomadaire ou journalier avec ou sans emplacement réservé) ;

-Bien choisir son produit/sa marchandise à vendre ;

-Etudier l’organisation du marché ;

-Acheter des marchandises en petites quantités auprès des grossistes ;

-Mieux vaut acheter un véhicule utilitaire (occasion ou neuf) que de louer – il est possible de débuter avec une petite citadine.

Certains marchés convoités sont impossibles à pénétrer pour les nouveaux commerçants… car la liste est longue avec une place qui peut coûter très cher (ce qui signifie que le business tourne bien ou à fond).

Les meilleurs commerces à créer sur les marchés sont :

-Boucherie ;

-Poissonnerie ;

-Fruits et légumes ;

-Rôtisseries ;

-Fleuristes/vente de fleurs ;

-Petits outillages et utilités pour la maison ;

-Traiteurs ;

-Vêtements et soldeurs.

Les métiers de bouche – 80 % des ventes annuelles sur les marchés de l’Hexagone – sont très prisés par la clientèle et assez rémunérateurs ; toutefois, le niveau de pénibilité est assez conséquent, ce qui constitue une barrière à l’entrée.

Pour se lancer dans une activité de commerce ambulant, le porteur du projet doit disposer d’une motivation élevée, d’une forte résilience et d’une aptitude aux relations sociales diversifiées (parfois tendues entre les commerçants ou avec certains clients aux caractères particuliers).

L’avantage principal de cette profession est la possibilité de tester et d’expérimenter en investissant peu.

Il est même recommandé de commencer par travailler, même modestement voire gratuitement, pour un commerçant bien implanté dans le but d’apprendre les ficelles du métier ou de jauger les capacités à acquérir pour réussir durablement.

Par ailleurs, l’évolution du mode de consommation a réduit la fréquentation moyenne des marchés – émergence du e-commerce ; horaires d’ouverture des marchés inadaptés aux heures de travail ; etc.

Pour tenir compte de ces facteurs, certains commerçants n’hésitent pas à diversifier leurs activités ; vente sur les marchés ; point de vente physique ; point de vente digital ; etc.

Besoin d’un prêt de 80000 euros de trésorerie pour entreprise

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En 2002, j’ai créé une société commerciale spécialisée dans la décoration intérieure.

Je voudrais améliorer le décor intérieur de mon showroom.

Cela permettra d’augmenter mon chiffre d’affaires en attirant plus de clients (taux de transformation en hausse).

J’ai besoin d’un prêt de 80000€ pour hausser la trésorerie pour une entreprise pour concrétiser le projet de travaux.

Réponse :

Les financements professionnels sont difficiles à obtenir auprès des banques car les risques liés à l’activité commerciale et artisanale sont élevés – les taux moyens de défaut et de défaillance des entreprises sont relativement élevés.

En effet, elles exigent des conditions élevées de solvabilité et la présentation d’un dossier solide plan d’affaires ; plans prévisionnels ; etc.

Toutefois, si votre entreprise est en bonne santé financière et que son offre présente un potentiel de croissance alors les organismes financiers peuvent accompagner son développement.

Vos objectifs – fidélité de la clientèle existante et captation d’une autre -, via l’optimisation du design du local d’exposition et de vente, paraissent raisonnables et atteignables.

Prenez contact avec les agences bancaires locales, les plateformes de financement participatif, les business angels ou le médiateur du crédit professionnel le cas échéant (si impossibilité de trouver du financement malgré la viabilité du projet) après avoir monté un dossier solide et cohérent.

A savoir :

La présentation d’un bon business plan permettra d’optimiser un dossier de financement et augmentera ainsi les chances d’obtention.

Un crédit professionnel doit être uniquement un moyen pour accéder à la rentabilité future d’un business…

Ce n’est pas le crédit qui réalise la rentabilité économique mais la nature et la solidité même du projet et de l’entrepreneur.

Un showroom est une salle ou un lieu d’exposition permettant de présenter et de vendre des produits ou services commerciaux.

On dit aussi hall d’exposition ou magasin.

La décoration intérieure est une activité permettant d’embellir et d’améliorer l’intérieur d’un bien immobilier – habitation ou local professionnel.

Prêt bancaire pour élevage canin ?

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Lorsque l’on a 25000 euros d’apport, est-ce que la banque peut nous faire un prêt de 400 000 euros pour monter une entreprise d’élevage canin ?

Réponse :

Actuellement, pour un emprunt professionnel, il faudrait au moins 40 % d’apport personnel.

L’effort de risque doit être porté par l’entrepreneur, symbolisé par la part importante de l’apport personnel.

Les banques ne peuvent pas prendre tous les risques à prêter pour des créations d’entreprises à moins de justifier d’un solide plan d’affaires ou business plan.

Que la nature de l’affaire soit de l’élevage canin ou autres activités, l’essentiel est la capacité de l’entrepreneur à générer des revenus durables.

Pour évaluer les potentialités, la constitution d’une étude minutieuse de faisabilité du projet semble être une étape importante ; besoin réel sur la zone de chalandise ; concurrence ; franchise ou en propre ; expérience du porteur ; bilans prévisionnels ; etc.

En résumé, il sera utile de prouver, au mieux de ses possibilités, la bonne allocation de l’apport personnel et des ressources bancaires sur telle ou telle activité et à tel ou tel endroit.

Le banquier doit être convaincu qu’il retrouvera la somme d’argent prêtée et les intérêts associés, ainsi que le gain d’un client solvable et sérieux dans la durée.

Concernant la spécialisation en élevage canin, les analystes bancaires pourront se poser ces questions :

  1. l’activité inclut-elle un service de souscription impliquant des revenus récurrents et stabilisants ? ;
  2. la vente d’accessoires peut-elle générer des ressources complémentaires ? ;
  3. quel montant mensuel un propriétaire d’un chien est-il prêt à payer pour son élevage ou son entretien ? ;
  4. quel est le quartier le plus à même à recevoir ce type de services et à engendrer une forte demande ?

CREDOC ou REMDOC : crédit ou remise documentaire ?

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Pourquoi le Remdoc est plus utilisé par les importateurs que le Crédoc ? Où sont les avantages du Remdoc ? Quels sont les inconvénients et risques ?

Réponse :

Remdoc signifie remise documentaire ou encaissement documentaire selon une donnée intéressante du site entreprise-droit.com.

C’est un mode de paiement utilisé dans les transactions internationales dont le principe de fonctionnement consiste à obliger l’exportateur de biens ou de services à remettre des documents prévus dans le contrat commercial – factures ; titres de propriété ; etc.- à la banque, chargée de les transmettre à l’importateur/l’acheteur lors de la réception des marchandises (il peut payer immédiatement ou en différé).

Quant au Credoc, cela signifie crédit documentaire.

Le Credoc est un engagement d’une banque de régler un exportateur de marchandises pour le compte de son client importateur en contrepartie de la réception de documents conformes – confirmant la nature et la valeur de la marchandise – et dans un délai imparti selon une excellente publication de glossaire-international.com.

Le Remdoc exige une confiance plus élevée envers le prestataire importateur par rapport au Credoc.

En d’autres termes, le Credoc sécurise un peu plus l’exportateur et moins l’importateur.

C’est la raison pour laquelle la technique du Remdoc est privilégiée par les importateurs.

Concernant le Credoc, il existe un « Credoc irrévocable et confirmé » pour mieux garantir l’échange commercial.

Plus généralement, la relation de confiance dépend de la nature de l’activité, de la durée du partenariat, des notations des agences et assureurs-risques, etc.

Quel est le prix d’une terre agricole ?

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Quel est le prix de vente à l’hectare d’une parcelle de terre agricole ? Quel est le prix d’une terre pour faire de l’agriculture ?
classée en 02 sur la commune de LA MEAUGON 22440 (Bretagne, Côte d’Armor).

Réponse :

Le coût d’une terre agricole dépend de l’activité agricole, des conditions éventuelles de bail à ferme…

Si c’est une terre agricole fertile qui rapporte de l’argent alors le prix de vente sera plus élevé qu’une terre qui ne rapporte rien à part des herbes mortes.

On parle de valeur vénale pour évaluer le prix d’une terre agricole.

En moyenne, l’hectare en France de terres agricoles se négocie à 6000 euros si l’on se fie à une donnée publiée par terre-net.fr.

Sur une période de 20 ans, les prix moyens des terres agricoles et prés ont plus que doublé – suivant la courbe des prix immobiliers.

Toutefois, de fortes diversités se font jour en fonction de l’emplacement, de l’occupation de la terre, de la qualité et nature de son sol, des revenus générés, du potentiel, de l’évolution des cours des matières agricoles, etc.

Les prix varient suivant la région :

  • sur la région Haut-de-France, 9400 euros l’hectare en valeur vénale moyenne – pouvant monter jusqu’à 15600 euros l’hectare -pour une terre labourable et agricole (ainsi que les prairies), libre à la vente ;
  • sur la Bretagne et la Côte d’Armor, 5700 euros ha en valeur moyenne vénale – pouvant monter jusqu’à 8000 euros l’hectare – pour une terre libre à la vente et labourable (incluant les prairies).

C’est le marché qui détermine la valeur et le prix d’équilibre suivant la loi de l’offre et de la demande.

Ces transactions se négocient de gré à gré en fonction des spécificités locales.

Analysez la situation et la problématique globalement avant de vous engager dans un projet d’agriculture ; en recourant, par exemple, à un plan d’affaires.

Haut de bilan (définition)

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La définition de haut de bilan ? Qu’est-ce qu’une opération de haut de bilan ?

Le haut de bilan représente toutes les lignes comptables d’une entreprise liées aux fonds propres, dettes à long terme, financements sur le long terme et aux immobilisations.

En d’autres termes, il regroupe les comptes d’actifs et de passifsemplois et ressources dans la durée selon une note de Ooreka.

En résumé : le haut de bilan est constitué de :

  1. les ressources durables tels que les dettes à long terme et les fonds propres ;
  2. les emplois durables tels que les immobilisations financières, corporelles et incorporelles.

On parle de « haut de bilan » car les données associées sont situées au début du bilan comptable d’une entreprise ; s’opposant ainsi à la notion de « bas de bilan« .

Quant aux opérations de haut de bilan, elles regroupent les démarches d’ingénierie financière comme les fusions-acquisitions, les augmentations de capital et les restructurations de dettes d’après une publication utile de Mataf.