L’arbitrage n’est plus un terme purement financier ; il concerne désormais la vie courante des ménages.
L’arbitrage est la capacité d’activer une action ou un acte pioché dans un ensemble de choix et de décisions possibles pour un agent économique donné – qu’il soit un particulier ou un professionnel.
Bien entendu, le choix est considéré comme optimal suivant les critères adoptés ou imposés à/par l’agent économique.
L’arbitrage est devenu une nécessité absolue pour le consommateur ou un investisseur par exemple s’il souhaite fructifier son budget ou ses investissements.
En effet, le consommateur est confronté de nombreuses propositions de dépenses, d’achats et autres services ; l’injonction de réaliser une série de bons choix est liée aux contraintes budgétaires.
Il s’agit donc d’adopter un comportement ou une attitude nécessitant une discipline et l’acceptation de la retenue ou de contraintes – stratégie de la priorisation et du renoncement à certaines choses temporairement.
Avec un pouvoir d’achat limité, il se retrouve ainsi confronté à bien choisir les meilleures offres tant au niveau du prix que de la qualité.
Les principaux arbitrages sont les suivants :
-Alimentation en grandes surfaces et magasins alimentaires ;
-Achat de la voiture neuve ou auto d’occasion ;
-Assurance auto, moto et habitation ;
-Opérateur de téléphonie mobile et fixe ;
-Abonnement du fournisseur d’accès internet (FAI) ;
-Mutuelle santé et système de soins ;
-Placement d’épargne ;
-Investissement immobilier et loyers.
Les arbitrages des consommateurs doivent passer par des comparaisons gratuites de devis ainsi que par la lecture et analyse des contrats ou prix proposés.