2ème chance au crédit auprès des banques

Après 3 ans de paiement régulier d’un financement auto affecté à l’achat d’une voiture neuve Alpha Roméo d’un montant de 28000 euros auprès d’un concessionnaire de Tours.

Mon projet actuel est de faire des travaux complets dans une vieille bâtisse en ruine que j’ai acquise l’an dernier pour une somme symbolique de 12700 euros lors d’une vente aux enchères à la criée.

Lors d’une première demande de crédit, la banque a refusé car le directeur d’agence estime que mon endettement est trop élevé et que le coût évalué des rénovations dépasse le budget autorisé.

J’aimerais savoir si je pourrais avoir une 2ème chance au crédit pour un emprunt d’argent avec une banque sachant que les gros travaux de la bâtisse sont évalués à 42000 euros. Merci.

Réponse :

Dans le cadre d’un financement, une deuxième chance est possible s’il n’existe pas d’impayés de mensualités de crédit et si l’emprunteur potentiel dispose d’une capacité financière suffisante.

Sans indication sur vos crédits actuels et ressources financières, il est impossible de pouvoir répondre à votre question.

Quel est le niveau de vos revenus mensuels ou annuels ?

À combien s’élève le montant total de vos dettes ?

Quelle est la composition de celle-ci (crédit conso, immo, loyers en retard, etc.) ?

Quel est l’objectif de votre projet immobilier (investissement locatif, revente avec plus-value, résidence principale, etc.) ?

Disposez-vous d’un apport personnel ?

Merci de compléter éventuellement ci-dessous votre question dans un objectif d’obtenir une réponse adaptée et précise.

Plus : La diminution de ses engagements financiers est un préalable avant l’obtention d’un emprunt immobilier à but d’investissement locatif si le banquier mesure un taux d’endettement élevé (supérieur à 33 %).

Le business de l’achat et de la revente de biens immobiliers à restaurer entièrement peut être juteux et rentable dans le cas où l’investisseur maîtrise la chaîne des intervenants et le processus de rentabilisation de ce type de projet (choix de l’emplacement, choix du bien, évaluation des travaux, choix du bon entrepreneur, structure juridique de contrôle de l’investissement immobilier, estimation des plus-values et de la fiscalité afférente, garanties, etc.).