Assurance terrain de loisirs, loué un terrain communal, au bord d’un étang ?

Je loue un terrain communal, au bord d’un étang, sur lequel se trouve une cabane. Je cherche à assurer l’ensemble par rapport aux dégâts que je pourrais causer à des tiers (chute d’arbre, incendie, etc.) mais aucune des compagnies d’assurance contactées assure ce genre de bien. Peut-être sauriez-vous vers qui dois-je me tourner ? merci d’avance.

Réponse :

Nous ne faisons pas de publicités dans les réponses par principe à moins que cela soit utile, éclairant un sujet ou citant une source de données.

Cependant, le mieux serait de contacter des courtiers spécialisés et des assureurs.

Pourquoi ne pas assurer votre bien comme un local loué sur un terrain de loisir ?

En bref, dans le but de souscrire à un classique contrat d’assurance local sur un terrain ?

Au lieu de dire à l’assureur « cabane », ne serait-il pas préférable d’annoncer un local sur un terrain de loisir en location ?

Il me semble que cela serait plus facile à comprendre et à passer. Jusqu’à preuve du contraire, une cabane est bien une forme de local.

N’utilisez plus le terme « cabane » mais « local à usage d’habitation précaire ou à usage de stockage de biens sans valeur situé sur un terrain de loisir« .

Avant de faire une simulation, évaluer la valeur de l’ensemble afin que la compagnie puisse estimer le risque et proposer une prime annuelle de souscription.

En principe, si la zone est stable, il n’y a aucun risque justifiant un refus de garantie ou un prix élevé d’assurance – à moins que l’espace ciblé ou son extension proche a déjà connu de nombreux dommages ou dégâts (incendie, dégradations, squat et délinquance, etc.).

Si cela n’est pas le cas – zone instable – alors même pour tout l’or du monde les compagnies d’assurance ne garantiront pas financièrement le local ou la cabane et le terrain associé puisque cela n’est pas viable et cohérent.

En effet, le sinistre serait quasiment certain ; ce n’est quasiment plus un risque mais une quasi certitude de dommages donc ce n’est plus du ressort de la fonction prudentielle des assureurs mais des attributions régaliennes de la puissance publique.